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1 recherche sur le tag 'sans-abri, dossier médical partagé, accès du patient au dossier médical, systèmes informatisés de dossiers médicaux, dossiers médicaux électroniques, médecins généralistes, continuité des soins, soins de santé primaires'
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Prise en charge des personnes sans chez-soi : intérêt du dossier médical partagé ? / Maeva JEGO-SABLIER in Santé publique, VOL 30 - N° 2 (Mars / Avril)
[article]
in VOL 30 - N° 2 - Mars / Avril - Améliorer les politiques nationales de promotion de l’activité physique favorable à la santé. (Bulletin de Santé publique) / Joana UNGUREANU
Titre : Prise en charge des personnes sans chez-soi : intérêt du dossier médical partagé ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Maeva JEGO-SABLIER, Auteur ; Gaëtan GENTILLE, Auteur ; Bernard GIUSIANO, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : 233-242 Langues : Français (fre) Tags : sans-abri, dossier médical partagé, accès du patient au dossier médical, systèmes informatisés de dossiers médicaux, dossiers médicaux électroniques, médecins généralistes, continuité des soins, soins de santé primaires Note de contenu : "Objectif : Étudier l’acceptabilité qu’ont les médecins généralistes (MG) du dossier médical partagé (DMP), dans le contexte de la prise en charge des personnes sans chez-soi (PSCS).
Méthodes : Étude mixte séquentielle, qualitative puis quantitative. Pour la phase qualitative, des MG impliqués dans la précarité ont été interviewés par entretiens semi-dirigés. Pour la phase quantitative 150 MG marseillais ayant une pratique typique de la médecine générale ont été tirés au sort puis interrogés via un questionnaire. L’acceptabilité pratique et sociale du DMP était quantifiée par échelles de Likert.
Résultats : 19 MG ont été interviewés pour la phase qualitative et 105 MG ont été inclus (73 % de répondants) pour la phase quantitative. Les MG connaissaient mal le DMP. La moitié (52,5 %) des MG seraient prêts à utiliser le DMP pour les PSCS. Il était perçu comme pouvant améliorer la continuité des soins, sa qualité et sa sécurité pour les PSCS. L’intérêt du DMP était perçu supérieur pour les PSCS que pour les patients en général, notamment sur le gain de temps envisagé (p = 0,03). En revanche, le DMP était mal connu, et les MG craignaient un détournement et une sécurisation insuffisante du stockage des données. Des limites spécifiques aux PSCS étaient relevées, dont l’accès pratique au DMP pour les PSCS (carte vitale, accès internet).
Conclusion : Le DMP pourrait être une solution pour améliorer la continuité des soins des PSCS. Il faut cependant adapter l’outil à la prise en charge des PSCS et informer les professionnels pour une utilisation effective."En ligne : https://www.cairn.info/revue-sante-publique-2018-2-p-233.htm Permalink : http://docifsi-ihfb92.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12130
in Santé publique > VOL 30 - N° 2 (Mars / Avril) . - 233-242[article]Exemplaires (1)
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