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Auteur Maryse GRÉGOIRE |
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Amélioration du sentiment de compétence des infirmières pour le dépistage du délirium en médecine générale : une étude quasi-expérimentale. / Maryse GRÉGOIRE in Recherche en soins infirmiers, N° 111 (Décembre)
[article]
in N° 111 - Décembre - Être aujourd’hui tuteur d’étudiants en soins infirmiers : une mission complexe et pérenne ? (Bulletin de Recherche en soins infirmiers) / Alain BAUDRIT
Titre : Amélioration du sentiment de compétence des infirmières pour le dépistage du délirium en médecine générale : une étude quasi-expérimentale. Type de document : texte imprimé Auteurs : Maryse GRÉGOIRE, Auteur ; Cécile MICHAUD, Auteur ; Martine PROULX, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 36-43 Langues : Français (fre) Tags : délirium, dépistage, sentiment de compétence, infirmières Note de contenu : "Introduction : Jusqu’à 60 % des personnes âgées souffriront du délirium en cours d’hospitalisation. Or, moins de 50 % des infirmières le décèlent, bien qu’il s’agisse d’une urgence médicale et que l’évaluation de l’état mental constitue l’une de leurs responsabilités. Objectif : évaluer l’effet d’une formation sur le sentiment de compétence d’infirmières à dépister le délirium. Méthode : devis quasi-expérimental. L’échantillon d’infirmières provenait de deux unités de médecine œuvrant sur des sites différents. La variable indépendante, une formation active qui prenait en compte l’expérience et les connaissances des infirmières, comprenait, entre autres, l’outil de dépistage « Confusion Assessment Method ». La variable dépendante, le sentiment de compétence, a été mesurée en pré et post formation à 6 mois d’intervalle avec un questionnaire autoadministré validé. Résultats : le taux de réponse aux questionnaires est supérieur à 90 % aux 2 temps. Il n’existe aucune différence dans le sentiment de compétence entre les groupes avant la formation. Le groupe expérimental a vu ses résultats s’améliorer de façon significative, contrairement au groupe de comparaison. Conclusion : Cette étude suggère une amélioration significative du sentiment de compétence grâce à une formation active. Cette amélioration devrait mener à un meilleur dépistage du délirium, donc au mieux-être des aînés hospitalisés." En ligne : https://www.cairn.info/revue-recherche-en-soins-infirmiers-2012-4-p-36.htm Permalink : http://docifsi-ihfb92.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11726
in Recherche en soins infirmiers > N° 111 (Décembre) . - 36-43[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P001608 ARSI Revue Bibliothèque IFSI de l'IHFB Revues Disponible Aucun avis, veuillez vous identifier pour ajouter le vôtre !
L’ennui chez les patients hospitalisés : étude descriptive et facteurs associés. / Maryse GRÉGOIRE in Revue francophone internationale de recherche infirmière, VOL 2 - N°2 (Juin)
[article]
in VOL 2 - N°2 - Juin - Les soins infirmiers dans le monde : plus de similitudes que de différences. (Bulletin de Revue francophone internationale de recherche infirmière) / Patricia DAVIDSON
Titre : L’ennui chez les patients hospitalisés : étude descriptive et facteurs associés. Type de document : document électronique Auteurs : Maryse GRÉGOIRE, Auteur ; Patrice LAPLANTE, Auteur ; Frédéric GRONDIN, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : 97-103 Langues : Français (fre) Tags : Durée d’hospitalisation, Ennui, Facteur d’influence, Adulte hospitalisé, Étude descriptive Note de contenu : "Problématique :
La prévalence de l’ennui chez les patients hospitalisés et ses facteurs associés sont encore peu connus.
But :
Dresser un portrait des patientèles les plus susceptibles de vivre l’ennui lors d’une hospitalisation.
Méthode :
Devis descriptif corrélationnel au moyen d’un sondage réalisé entre 2013 et 2014 auprès d’un échantillon de convenance (n=320) constitué d’adultes francophones, sans atteinte cognitive, admis sur une unité de soins de médecine.
Résultats :
La durée moyenne d’hospitalisation est de 7,8jours (ET 11,6). Au total, 20,3 % des patients rapportent très fréquemment de l’ennui alors que 19,4 % en vivent quelques fois. Les principaux facteurs associés sont : durée d’hospitalisation (p=0,01), séjour en chambre privée (p=0,003), accès à un téléviseur (p=0,01), fréquence des visiteurs (p=0,05), et prédisposition individuelle à vivre l’ennui (p=0,0001).
Conclusion :
Le sentiment d’ennui apparaît présent chez un certain nombre de patients hospitalisés."En ligne : http://www.em-consulte.com/article/1064232/resume/l-ennui-chez-les-patients-hosp [...] Format de la ressource électronique : http://www.em-consulte.com/showarticlefile/1064232/main.pdf Permalink : http://docifsi-ihfb92.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3145
in Revue francophone internationale de recherche infirmière > VOL 2 - N°2 (Juin) . - 97-103[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P001112 REFIRI Revue Bibliothèque IFSI de l'IHFB Revues Disponible Aucun avis, veuillez vous identifier pour ajouter le vôtre !