Accueil
Le CDI est ouvert du lundi au vendredi de 9h00 à 18h00.
Détail de l'auteur
Auteur Sassor, Odile, Purifine AKE-TANO |
Documents disponibles écrits par cet auteur (2)
Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externes
Pratiques alimentaires des diabétiques de type 2 suivis au Centre Antidiabétique d’Abidjan. / Sassor, Odile, Purifine AKE-TANO in Santé publique, VOL 29 - N° 3 (Mai / Juin)
[article]
Titre : Pratiques alimentaires des diabétiques de type 2 suivis au Centre Antidiabétique d’Abidjan. Type de document : texte imprimé Auteurs : Sassor, Odile, Purifine AKE-TANO, Auteur ; Franck, Kokora EKOU, Auteur ; Yao, Eugène KONAN, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : 423-430 Langues : Français (fre) Tags : Diabète, pratiques alimentaires, éducation nutritionnelle, Côte d’Ivoire Note de contenu : "La prévalence du diabète augmente rapidement en Afrique sub-saharienne. Les mesures hygiéno-diététiques jouent un rôle primordial dans le contrôle du déséquilibre glycémique et des complications cardiovasculaires du diabète. Les objectifs de cette étude étaient de décrire le profil des patients diabétiques de type 2 suivis au Centre Antidiabétique d’Abidjan (CADA), décrire leurs pratiques alimentaires et identifier les facteurs influençant celles-ci.
Méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale à visée descriptive et analytique qui s’est déroulée en 2014 au CADA. Au total, 384 diabétiques ont été inclus.
Résultats : Les patients avaient un âge moyen de 56,2 (ET : 11,7) ans et étaient diabétiques depuis en moyenne 8,6 ans. Les principales comorbidités étaient la surcharge pondérale (56,8 %) et l’hypertension artérielle (45,3 %). Plus de la moitié des patients soit 60,7 % n’avaient pas une bonne connaissance des aliments déconseillés aux diabétiques. Concernant leurs pratiques alimentaires, 88,5 % ne prenaient pas leur repas à des heures fixes, 11,7 % affirmaient grignoter et 61,5 % se restauraient hors de la maison. Par ailleurs 60,4 % affirmaient avoir consommé au moins un aliment déconseillé au cours de la semaine ayant précédé l’enquête. Les aliments les plus concernés étaient les préparations grasses et fritures (31,5 %). Les patients qui ignoraient que la consommation de préparations grasses et de fritures était déconseillée aux diabétiques avaient trois fois plus de risque de consommer de tels aliments (p Conclusions : Le renforcement de la prise en charge nutritionnelle à travers des séances d’éducation thérapeutique est primordial pour améliorer les pratiques alimentaires des diabétiques de type 2 en Côte d’Ivoire."En ligne : http://www.cairn.info/revue-sante-publique-2017-3-p-423.htm Permalink : http://docifsi-ihfb92.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9140
in Santé publique > VOL 29 - N° 3 (Mai / Juin) . - 423-430[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P001396 SFSP Revue Bibliothèque IFSI de l'IHFB Revues Disponible Aucun avis, veuillez vous identifier pour ajouter le vôtre !
Pratiques d’avortement chez des lycéennes à Yamoussoukro, Côte d’Ivoire. / Sassor, Odile, Purifine AKE-TANO in Santé publique, VOL 29 - N° 5 (Septembre / Octobre)
[article]
Titre : Pratiques d’avortement chez des lycéennes à Yamoussoukro, Côte d’Ivoire. Type de document : texte imprimé Auteurs : Sassor, Odile, Purifine AKE-TANO, Auteur ; Denise, Olga KPEBO, Auteur ; Yao, Eugène KONAN, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : 711-717 Langues : Français (fre) Tags : avortement provoqué, grossesses non désirées, élèves, Côte d’Ivoire Note de contenu : "En Côte d’Ivoire, l’avortement provoqué est un acte illégal sauf dans le cas où la vie de la mère est en danger. L’objectif général de ce travail était de décrire les pratiques d’avortement chez les élèves du Lycée Jeunes Filles de Yamoussoukro. Plus spécifiquement il s’agissait d’estimer la prévalence de l’avortement provoqué, de décrire l’itinéraire suivi et les méthodes utilisées pour l’avortement et de déterminer les complications post-avortement.
L’étude transversale a porté sur 312 filles échantillonnées aléatoirement en juillet 2011 au Lycée Jeunes Filles de Yamoussoukro.
L’âge moyen (ET) des filles est de 16,1 (4,7) ans. Parmi elles, 258 soit 82,7 % ont déjà eu des rapports sexuels et 81 soit 31,4 % ont été une fois enceintes. Cinquante sur quatre-vingt et une filles soit 61,7 % (56,3-67,1) ont pratiqué un avortement provoqué. L’itinéraire suivi pour l’avortement est le suivant : l’automédication fut le principal recours (70 %) à la première tentative puis en cas d’échec ce furent les tradipraticiens (56,4 %). Lors de la troisième tentative, les agents de santé ont été les plus sollicités (85,7 %). Les méthodes d’avortement les plus utilisées sont l’ingestion de produits médicamenteux (91,9 %), l’ingestion de plantes/décoctions (68,5 %) et l’insertion de corps étrangers dans la cavité vaginale (62,3 %). Vingt-deux avortements provoqués sur cinquante (44 %) ont conduit à des complications surtout infectieuses (81,8 %) et hémorragiques (68,2 %). Les complications sont associées aux avortements auto-induits ou dirigés par un tradipraticien (p L’intensification de l’éducation sexuelle, l’accès à la contraception moderne, la sensibilisation contre les risques liés aux grossesses non désirées et aux recours non médicalisés doivent être mises en œuvre pour prévenir l’avortement en milieu scolaire. Aussi, il faudrait renforcer la qualité et l’accessibilité des services offrant des soins après-avortement."En ligne : https://www.cairn.info/revue-sante-publique-2017-5-p-711.htm Permalink : http://docifsi-ihfb92.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10429
in Santé publique > VOL 29 - N° 5 (Septembre / Octobre) . - 711-717[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P001489 SFSP Revue Bibliothèque IFSI de l'IHFB Revues Disponible Aucun avis, veuillez vous identifier pour ajouter le vôtre !